article Greenfo

Ce fut un dimanche d’élections de tous les superlatifs. Jamais en Suisse un parti n’avait connu une croissance aussi nette que celle des VERT-E-S le 20 octobre. Ce n’est plus seulement dans les cantons que nous sommes plus forts que jamais. Nous jouons […]

La situation est sérieuse. Et les vieilles recettes ne suffisent plus. C’est ce que constatent les jeunes grévistes du climat, mais nous également.

Entre les grévistes – climatiques, féministes ou syndicaux – et les décideurs, il faut des organisations solides, à même d’opérer la jonction. C’est précisément ce dont les VERT-E-S sont capables.

Plus de Vertes et de Verts au parlement, cela signifie plus d’égalité. Depuis le début, nous sommes à l’avant-garde, non seulement par nos revendications, mais aussi dans la pratique.

Le 20 octobre se dérouleront les #ElectionsClimat2019. Car, même si la loi sur le CO2 devrait être encore améliorée par le Conseil des Etats, elle passera ensuite au Conseil national. Une protection climatique efficace nécessite plus de VERT-E-S au Parlement.

Chaque année, les sondages montrent que les VERT-E-S sont le parti le plus crédible sur les questions environnementales, protection de la nature et lutte contre le réchauffement climatique compris.

Même en Suisse, les campagnes de la droite populiste remettent en cause les droits humains, l’Etat de droit et ses valeurs fondatrices que sont la solidarité et l’ouverture. L’engagement Vert est plus nécessaire que jamais pour contrer cette évolution.

Depuis leur création, les VERT-E-S se sont montrés pionniers pour défendre les revendications du mouvement queer. En créant le réseau LGBTIQ* Vert, ils concrétisent encore leur engagement en faveur de l’égalité et de la participation des personnes LGBTIQ*.

Dans l’espace germanophone, Katharina Schulze est très connue comme passionaria des VERT-E-S de Bavière. Elle dirige leur groupe au Parlement bavarois, qu’elle profile dans l’opposition.

« Il s’agit de notre avenir ! » Quelle phrase impressionnante ! Il semble que nous connaissions l’ampleur du problème… mais comment le résoudre ensemble ?