
Cyberpolitique et numérisation
L’essentiel en bref
- Pour les VERT-E-S, Internet est un lieu d’échange, que l’on peut – et devrait – utiliser pour favoriser la participation démocratique et la durabilité dans notre société.
- Les VERT-E-S veulent que tout le monde ait accès à Internet et que la vie privée et les droits d’auteur soient protégés.
- Nous nous engageons afin que la consommation d’énergie et des ressources soit revue à la baisse ainsi qu’en faveur des données et logiciels libres.
- Et nous voulons obtenir l’élaboration et la réalisation d’une stratégie nationale pour une mise en œuvre sociale de la numérisation.
Internet n’est pas qu’un outil technique, c’est un lieu d’échange, que l’on peut – et devrait – utiliser pour favoriser la participation démocratique et la durabilité au sein de la société.
Droits fondamentaux : la base
Les droits fondamentaux sont les piliers de la cyberpolitique Verte. Liberté d’opinion et de rassemblement ainsi que de la presse doivent régner sur Internet également. Il faut que le public ait accès à des forums de discussion démocratique et ouverte. L’accès à l’information conformément au principe de transparence est le prérequis à une participation démocratique. Les données et logiciels libres (Open Data et Open Source) sont la clé pour davantage de démocratie.
Pour des conditions de travail et un revenu équitables à l’heure de la numérisation
Le monde du travail numérique sera plus interconnecté, plus technique et plus flexible. Nous, les VERT-E-S, voulons aussi qu’il soit plus humain, plus favorable à la vie de famille et plus écologique. De sorte qu’il devient indispensable d’élaborer et réaliser une stratégie nationale pour une mise en œuvre sociale de la numérisation. Travailleuses et travailleurs doivent avoir accès aux nouvelles technologies et bénéficier d’un droit à la formation continue et à la reconversion professionnelle lorsqu’ils et elles changent de branche ou de profil professionnel. En outre, la sécurité de travail doit être adaptée au monde numérique. Et pour ladite « économie des plateformes », soit toute prestation fournie par internet, la protection sociale usuelle accordée en matière d’emploi aux salarié-e-s doit prévaloir.
Vous trouvez de plus amples informations dans notre plateforme électorale et sur notre site web sur la cyberpolitique Verte (en allemand)