un train jouet sur une carte du monde
© Benjamin Zumbühl

L’essentiel en bref

  • Crise climatique, raréfaction des ressources, inégalités mondiales et migrations montrent clairement que l’économie mondiale doit enfin miser sur la durabilité et l’équité.
  • Pour les VERT-E-S, une chose est sûre : en tant que siège de nombreuses multinationales et en tant qu’une des plaques tournantes mondiales des matières premières, la Suisse doit veiller à davantage d’équité.
  • Les VERT-E-S militent pour que la Suisse intègre la durabilité et l’équité dans ses accords de libre-échange et les impose également.
  • De plus, nous mettons tout en œuvre pour que les multinationales dont le siège est en Suisse soient obligées de respecter les droits humains et les normes environnementales dans leurs affaires.

Le commerce international est fondamental. Il permet, notamment aux pays pauvres, de se développer. Mais il faut impérativement axer l’économie globalisée sur la durabilité. Comme en témoignent crise climatique, destruction de l’environnement, fracture entre riches et pauvres. Les VERT-E-S s’engagent pour que la Suisse assume un rôle pionnier en la matière.

Priorité aux droits humains et à la durabilité

En tant que siège de nombreuses multinationales et en tant que plaque tournante des matières premières, la Suisse doit montrer l’exemple et veiller à ce que les entreprises, sises en Suisse, assument leurs responsabilités et respectent les droits humains et les normes environnementales. Enfin, les futurs accords de libre-échange devront donner la priorité à la durabilité et à l’équité, et il faudra des instruments efficaces pour les imposer. Les VERT-E-S tiennent à ce qu’on mette un frein à l’évasion fiscale des multinationales (cf. le thème finances & fiscalité). Car elle fait perdre chaque année des milliards de francs en recettes fiscales aux pays du Sud, les multinationales déplaçant toujours plus leurs bénéfices dans les pays à fiscalité-plancher.