«Ensemble mettons nos inspirations, nos envies, nos espoirs au service du bien commun, des êtres que nous aimons, de tout ce qui nous entoure de précieux», appelle Valérie D’Acrémont, professeure de santé globale & porte-parole des «1000 femmes pour le climat». «Directement concernées par le réchauffement climatique, les femmes ont un moyen d’agir pour faire bouger les choses, améliorer les conditions de celles et ceux qui vivent ailleurs et offrir un avenir aux générations futures.»

Durant les canicules, les femmes sont davantage sujettes que les hommes aux coups de chaleur, insomnies, épuisement, ou pire aux attaques cardiaques ou cérébrales. À l’échelle planétaire, elles travaillent aussi souvent dans des conditions précaires et sont donc particulièrement tributaires des ressources naturelles. Des ressources largement sous pression en raison de la crise climatique.

Parallèlement, les femmes sont souvent exclues des processus décisionnels et, en Suisse, elles sont sous-représentées à l’Assemblée fédérale. C’est pourtant là que se joue la politique de demain, là que l’on peut agir pour poser les jalons d’une politique climatique ambitieuse et qui tient compte des femmes.

L’action «1000 femmes pour le climat» réunit des personnalités de toute la suisse – connues ou non, politiciennes, sportives, jeunes, retraitées, scientifiques… – engagées contre la crise climatique. Son but est de montrer que les femmes concernées par la crise et mues par l’urgence d’agir font partie intégrante de la solution.

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