Les constats sont alarmants. 90 pourcent des oiseaux aquatiques ont du plastique dans le ventre. Beaucoup d’autres meurent de faim car ils n’arrivent pas à digérer le plastique et n’ont plus de place dans leur estomac pour leur véritable nourriture. Du plastique se retrouve aussi dans nos sols, dont il réduit la fertilité. Du plastique se retrouve même dans nos aliments. Une étude autrichienne a récemment montré que toutes les personnes examinées avaient des microplastiques dans le corps. En Suisse aussi, les nuisances occasionnées sont graves. Cela ne se voit pas seulement le long des rivières et des cours d’eau, mais jusque dans les réserves naturelles où chaque mètre carré est souillé par la pollution plastique.

Résolution (PDF)