Depuis le début de son mandat, Daniel Brélaz sent qu’il mène un combat juste et avant-gardiste. « En 1979, nous étions les seul-e-s à évoquer l’économie circulaire. En 2022, la solution repose sur le tout renouvelable, l’efficience énergétique, les solutions locales et l’économie circulaire. » Très engagé dans le domaine de l’énergie, il cite sans hésiter « la sortie du nucléaire et l’engagement vers la sortie des énergies fossiles et fissiles, soit vers un monde potentiellement durable » comme sa plus belle victoire. Il se réjouit aussi de l’évolution du parti, passé « d’un courant politique marginal à une force pouvant être déterminante pour l’avenir de notre pays ». Son meilleur souvenir politique ? « Les manœuvres ayant conduit à l’éviction de Christophe Blocher du Conseil fédéral. Et mon élection comme syndic de Lausanne. »

Extrait de la laudatio de la présidente du Conseil national Irène Kälin, lors du départ de Daniel Brélaz du Parlement, en mars 2022.
Durant ses mandats, Daniel s’est beaucoup engagé dans les thèmes centraux des VERT-E-S, à savoir l’environnement, la politique énergétique et les transports. (…) Politicien pur souche, Daniel sait défendre ses idées avec ténacité, humour, vivacité et conviction. En tant que scientifique, il a toujours abordé les choses avec pragmatisme et logique. Il s’intéresse aussi bien à la méthode qu’à la solution pratique et concrète d’un problème, visant toujours l’amélioration du bien commun. Il impressionne par sa solide connaissance des dossiers. Daniel est apprécié pour son caractère sociable et simple ainsi que pour son sens de l’humour et de l’autodérision. Grâce à son engagement sans borne, la vision écologique est devenue un thème incontournable sous la Coupole. Merci Daniel !