Les VERT-E-S rejettent cette modification législative, car elle restreint considérablement la marge de manœuvre de la Poste, déstabilise la Poste dans son ensemble et causerait des millions de perte en recettes ou gains. À moyen terme, le service public qu’autofinance la Poste via son service universel serait remis en question (y compris les emplois qui lui sont rattachés), ou bien l’État devra le financer. Les VERT-E-S rejettent donc, quant au fond, cette réforme et propose à la commission d’y renoncer.

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