Financement de l’exploitation et la maintenance de l’infrastructure ferroviaire, des tâches systémiques de ce domaine et sur les contributions d’investissement en faveur des installations privées de transport de marchandises pour les années 2025 à 2028
Réponse à la consultation sur le financement de l’exploitation et la maintenance de l’infrastructure ferroviaire, des tâches systémiques de ce domaine et sur les contributions d’investissement en faveur des installations privées de transport de marchandises pour les années 2025 à 2028
Pour les VERT-E-S, le plafond 2025-2028 de 15,1 milliards de francs pour l’exploitation et la maintenance de l’infrastructure ferroviaire est totalement insuffisant. Il faudrait lui ajouter 1,5 milliard de francs au moins, afin de garantir une exploitation sûre et performante et d’éviter de futurs assainissements coûteux. En tant que moyen de transport climat-compatible et peu encombrant, le rail doit être renforcé – et non affaibli – pour les moyennes ou longues distances. De surcroît, ces investissements facilitent le passage aux transports publics. Enfin, nous rejetons la coupe de plus d’un tiers des contributions d’investissement à des installations privées de transport de marchandises, car cela freine de passage au fret ferroviaire.