Pas de libre-échange au détriment de la forêt tropicale !
L’essentiel en bref
- Déforestation, incendies, sécheresses : la forêt amazonienne est à l’agonie.
- Les négociations menées par le Conseil fédéral sur l’accord de libre-échange avec les pays sud-américains du Mercosur sont officiellement terminées.
- Cet accord sacrifie définitivement la protection de la forêt tropicale et les droits des populations locales sur l’autel du libre-échange agricole effréné.
Aidez-nous dès maintenant à faire aboutir le référendum contre l’accord de libre-échange avec le Mercosur !
Je soutiens le référendum à venir
La durabilité et la protection des droits humains doivent être au cœur de l’accord de libre-échange avec le Mercosur. Or, on peut en douter. Dans les pays du Mercosur, l’augmentation des exportations et le libre-échange agricoles favorisent une industrialisation exponentielle de l’agriculture au détriment de l’environnement, de la population et des animaux. Le défrichage à grande échelle, puis les monocultures libèrent de très grandes quantités de CO2 et détruisent des milieux naturels.
Contre les monocultures, les brûlis en Amazonie et l’expropriation des petits paysans !
Ces gigantesques monocultures érodent les sols, tarissent les sources d’eau et nécessitent de grandes quantités d’engrais et de pesticides chimiques. Produire du fourrage ou de la viande pour l’exporter en Europe et en Suisse supplante les cultures vivrières, chasse les petits paysan-ne-s et les communautés indigènes de leurs terres.
Les VERT-E-S s’opposent à cet accord qui alimente la destruction de la forêt tropicale et accélère donc la crise climatique. Le 29 mars 2025, les délégué-e-s des VERT-E-S ont déjà décidé de combattre, le cas échéant, par voie référendaire un accord de libre-échange sans dispositions efficaces et contraignantes pour le rendre durable et protéger les droits humains.
Inscris-toi à l’aide du formulaire ci-dessous pour soutenir le référendum à venir contre l’accord avec le Mercosur.