Pour les VERT-E-S, c’est clair : le Parlement doit rejeter le plan d’économies néfaste pour l’avenir. Économiser dans la protection du climat et l’éducation et un non-sens. Au contraire, il est urgent d’investir maintenant pour les générations futures au lieu de réduire la dette. 
Gerhard Andrey, conseiller national FR

La Commission des finances du Conseil des États entame aujourd’hui l’examen détaillé du plan d’économies du Conseil fédéral. On l’a vu ces derniers mois : la population et les secteurs concernés par les coupes s’opposent massivement à ce plan d’économies idéologique. Quelque 25 000 personnes sont déjà prêtes à soutenir un éventuel référendum des VERT-E-S. 

Dans ce contexte, le Parlement doit refuser ce projet déséquilibré, idéologique et nuisible pour l’avenir. Les coupes budgétaires se font sur le dos des générations futures. L’armée devrait être renforcée au détriment des transports publics, de l’égalité des chances, de la coopération internationale et de la protection du climat.  

Au lieu de mesures d’austérité, il faut investir dans l’éducation et la protection du climat afin de garantir la cohésion sociale et nos conditions de vie. En augmentant les recettes et en ajustant le frein à l’endettement, ce programme d’économies ne serait pas nécessaire.