Les régions de montagne sont confrontées à d’importants défis. Elles doivent satisfaire aux multiples exigences du tourisme. En tant que château d’eau, elles sont un des piliers du tournant énergétique. Quant à l’agriculture de montagne, elle fournit une contribution essentielle au maintien et à la protection de paysages et d’espaces naturels uniques. Tout cela doit permettre d’améliorer la création de valeur ajoutée de la région. Lors de la rencontre de Tschlin, en Basse-Engadine – le centre géographique des Alpes, les Verts ont décidé d’approfondir leur collaboration avec les organisations de protection de l’arc alpin et de l’environnement afin de dégager une politique durable commune pour les régions de montagne, à l’échelle internationale, nationale, cantonale et locale.

VERDA, les Verts grisons, sont à l’origine de cette rencontre alpine. Y ont participé une quinzaine de personnalités des Verts suisses – dont la coprésidente et conseillère nationale Regula Rytz et le conseiller national Bastien Girod –, des Verts valaisans, uranais et tyroliens, ainsi que des représentantes et représentants du WWF, de Pro Natura, de la Fondation suisse pour la protection et l’aménagement du paysage, de l’Initiative des Alpes, de la Commission internationale pour la protection des Alpes (CIPRA), de l’association Mountain Wildnerness et de la Convention alpine.