Les VERT-E-S sont enchanté-e-s que le Parlement inscrive enfin l’économie circulaire dans la loi, car elle signifie à la fois moins de déchets et une meilleure valorisation de ceux qui sont inévitables. Ce faisant, le Parlement se prononce en toute clarté notamment pour réduire déchets plastiques et déchets sauvages et pour un droit à la réparation des produits. « Cette loi est un succès, un peu tardif mais important, pour l’initiative en faveur d’une « économie verte » que les VERT-E-S ont lancée il y a plus de dix ans » se réjouit la conseillère aux États Céline Vara. « Grâce à l’économie circulaire, nous préservons les ressources naturelles et assurons des emplois. C’est une chance pour la Suisse en tant que pôle de recherche et de savoirs », renchérit le conseiller national Christophe Clivaz.

Une large alliance pour l’économie verte

Il y a longtemps que le principe d’une économie circulaire aurait dû être inscrit dans la loi. La Suisse est très en retard en matière de revalorisation des déchets. À l’heure actuelle, notre pays réutilise ou recycle à peine 7% des matières premières auxquelles il recourt (Circularity Gap Report) : un gaspillage énorme de précieuses ressources. Telle est la conviction d’une large alliance de parlementaires allant des VERT-E-S au PLR. Et c’est cette alliance qui concrétise aujourd’hui l’économie circulaire au National.