Enquêter sur de simples vols ou des dommages matériels de la même manière que pour des crimes graves et violents, avec des logiciels espions ? Nous nous y opposons, c’est pourquoi nous soutenons le référendum.
Balthasar Glättli, conseiller national ZH

En 2015, les Verts ont demandé le renvoi du projet LSCPT (loi fédérale sur la surveillance de la correspondance par poste et télécommunication). Ils exigeaient que le Conseil fédéral biffe le stockage de données à titre préventif de toutes les communications téléphoniques ou cybernétiques et qu’il limite l’utilisation de logiciels espions à des crimes violents et graves. Mais ils n’ont pas été entendu, c’est pourquoi les Verts soutiennent le référendum contre la LSCPT.

En 2014 déjà, Balthasar Glättli avait illustré de manière impressionnante le nombre de données que les autorités suisses peuvent – sans l’ombre d’un soupçon – stocker de toute personne habitant dans notre pays.