Les VERT-E-S suisses rejettent la modification de loi proposée qui vise à augmenter le nombre de dimanches ouverts de quatre à douze par an. Celle-ci conduit à une détérioration des conditions de travail et de la santé des employé-e-s du commerce de détail, qui souffrent déjà aujourd’hui d’horaires irréguliers, de journées de travail fragmentées, d’activités physiquement exigeantes et de salaires souvent bas. Nous estimons qu’il est indispensable de préserver autant que possible le dimanche comme jour de repos commun, car il renforce la cohésion sociale, protège la santé des travailleurs et maintient les liens sociaux et familiaux indispensables à une société équilibrée. 

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